Pourquoi y a-t-il seulement, sur une durée
d`environ 8 heures (480 minutes) d`autopsie, 1 1/4 heure (75 minutes) de
film vidéo (sans audio) en tout et que le plus important, soit la
prise en charge du sternum nous montrant le déroulement complet de la
procédure pour les rayons X avant, pendant et après le nettoyage du sternum
n`existe pas ?
Pourquoi faut-il que le Dr.
Michael Baden nettoie le sternum pour
y découvrir un trou, quand ce même sternum sans nettoyage, au rayon X, nous
montre très clairement un sterno-foramien, à la salle des radiographies (photos 14-15) ?
Pourquoi le Dr. Baden a-t-il emmené avec
lui le sternum à New-York, puisqu`il n`y a pas eu d`autres examens que ceux
déjà faits à Montréal (27, 28 août 1996) ?
Comment expliquer le changement du mandat
à l`Institut Médico-Légal du huissier Richard Larivière à qui, la chaîne de
possession concernant le sternum a été changée par la C.L.L.. ?
Quand il y a une autopsie de ce type, il
faut scier les os pour pratiquer l`examen. Cependant, à la ré-autopsie en
1996, le Dr. Louis S. Roh a déclaré que les os n`avaient pas été sciés,
pourquoi ?
Quand il y a autopsie de ce type, les
organes sont enlevés et remis dans le corps avec des sacs de plastique;
cependant ces sacs n`ont pas été retrouvés à la ré-autopsie de 1996,
pourquoi ?
Pourquoi que lorsque le fragment au dos du
sternum, quand remis en place, referme-t-il presqu`entièrement ce même trou
?
Pourquoi le cercueuil de M. Dupont
n`était- il pas à l`endroit spécifié dans les registres du cimetière ?
Pourquoi a-t-on retrouvé une pierre de
plus de 175 kilos (400 livres) au pied du cercueuil de M. Dupont qui
pourtant, en 1969 ne s`y trouvait pas ?
Pourquoi la Commission Lacerte-Lamontagne
a-t-elle ordonné que la ré-autopsie soit faite à l`Institut
Médico-Légal
de Montréal quand tous les instruments nécessaires n`y sont pas tous
disponibles, ceci dû au directeur le docteur André Lauzon se trouvant
lui-même en conflit d`intérêt vu son témoignage à la Cour Supérieure du
Québec en 1995 (voir le commentaire du
Dr A. Lauzon dans la section XIII b) concernant l`article du journal `Le
Nouvelliste` du 22 décembre 1995, deux jours après le jugement de la Cour
Supérieure du Québec. Celui-ci y affirmait que : " Mais avec l`enquête
publique, l`autre côté de la médaille va lui aussi apparaître."
se rapportant aux,
NOTES D`ADIEU
L`expertise sur les
taches de sang, noir de fumée :
Les variations d`écriture existantes ne
peuvent s`expliquer par l`experte en écriture (Sonia Michaud, G.R.C.) :
écrit libre et volontaire OU sequestré et menacé, elle ne sait pas
A été faite par une biologiste et non par
un(e) chimiste. Alors, comment pouvait-elle analyser chimiquement les
composants ?
Comment expliquer que la Police de
Trois-Rivières affirmait que M. Dupont avait écrit lui-même la lettre le 10
novembre alors que l`expertise n`a été faite que le 19 novembre 1969 ?
Comment peut-on s`expliquer que Monsieur
Dupont aurait écrit une note de suicide, supposément caractérisée par l`état
de folie précédant son geste si aucun stylo
n`a été retrouvé dans l`auto ni dans ses effets personnels ?
Deux ( 2 ) lettres (notes) au même contenu
l`une mesurant 4 pouces x 7 pouces (10 cm x 17.5 cm), et l`autre mesurant 8
1/2 pouces x 11 pouces (21 cm x 27.5 cm).
Comment se fait-il que l`experte de la GRC
retenue par la Commission Lacerte-Lamontagne n`a pas pu expliquer la façon
ou le procédé qui avait été utilisé pour réaliser la deuxième lettre d`adieu
de M. Dupont et que cette question demeure entière.
Dans le sommaire de la C.L.L. (3e page)
Il est dit ; «La note d`adieu trouvée sur les lieux le 10 novembre 1969
par le sergent-détective Massicotte est produite devant la Commission.»
Dans le témoignage de Clément Massicotte le 27 juin 1996 :
En page 26 : Monsieur Massicotte dit : «La note...d`après moi,
c`est moi qui a parti ça qui avait un papier en... en dessous du garde-soleil,
en-dessus... sur le garde-soleil.»
Et pourtant, en page 22 :
Monsieur Massicotte dit : «Je crois pas que ça sentait beaucoup, ça
pouvait peut-être sentir mais lorsque j`ai regardé dans l`automobile, j`ai
jamais rentré pour fouiller dans l`automobile...»
INTERROGATIONS SUR LA
COMMISSION CÉLINE LACERTE-LAMONTAGNE
Pourquoi la C.L.L. n`a pas respecté dans son
ensemble le jugement du Juge Ivan
St-Julien ?
CE QUI ABERRANT
DE CONSTATER ,C’EST QUE :
1- Si la Commission
Lacerte-Lamontagne a existé en 1996,c’est suite au jugement favorable
à la Famille Dupont rendu le 20 décembre 1995 par la Cour Supérieure du
Québec(Juge Ivan St-Julien).Ce jugement n’a pas été contesté(en appel dans
les 30 jours suivants)et par " conséquent " il a été accepté dans son
ensemble par le Gouvernement du Québec(Les ministres de la Sécurité
publique MeSerge Ménard et de la Justice MePaul Bégin).De par cette
admission du jugement de la part du Gouvernement(pas d’appel) :THE GAME IS
OVER concernant le MEURTRE ou le SUICIDE (projectile est entré dans le
dos)………..
2- Extraits du jugement : " Avec toute la preuve( médicale et
pathologique) entendue.de la part des experts du Gouvernement(Dr.Graeme
Dowling(Edmonton) et ceux de l’Institut Médico-Légal Du Québec les Drs.André
Lauzon(directeur)Jean Hould et les 2 rapports présentés par l’ensemble des
pathologistes de cet même Institut),ainsi que des experts de la Famille
Dupont les Drs.Louis S.Roh (New York) et James A.Ferris(Vancouver);le
Tribunal le répète :De retenir son opinion comme étant celle d’un
MEURTRE
plutôt que celle d’un suicide.< Voir section XIII-a) p.23(2)(3) p.59(4)
p.66(2) >
3- Le but de la Commission d’enquête publique ordonnée par le juge Ivan
St-Julien était pourtant clair :Recherche entourant la disparition et le
décès du sergent-détective Louis-Georges Dupont en 1969 Ce sont
les’Pourquoi’ ,les’Comment’ ,les’Où’ ,les’Quand’ ,les’Qui’ qu’on recherchait
et non de recommencer le débat des pathologistes comme la juge Céline
Lacerte-Lamontagne(Cour du Québec) s’est obstinée à le faire et ainsi à ne
pas respecter le jugement du juge Ivan St-Julien(Cour Supérieure du
Québec).Comme on l’a dit plus haut,en ce qui concernait la partie
‘pathologie’ :THE GAME IS OVER( le Gouvernement n’est pas allé en
Appel).Soyez assuré que si cela avait été un suicide,la Cour Supérieure du
Québec n’aurait jamais accordé ‘Une Commission d’Enquête publique’ , et que
le Gouvernement aurait porté le jugement( cause) en Appel
.Malheureusement,Madame la Commissaire Lacerte-Lamontagne a accepté le
contrat du Gouvernement moyennant beaucoup de $$$ se foutant éperdûment des
souffrances morales et psychologiques vécues par la famille Dupont depuis
1969 ainsi que du juge et de la loi.Pourtant,étant marié à un
psychiatre(Dr.Yves Lamontagne),elle aurait dû ‘ normalememt ‘ mieux
comprendre ce que la famille avait vécu. Peut-on penser qu’elle est
habilitée à rendre des accusations ,des jugements,des sanctions et
condamnations en agissant de la sorte?Peut-on penser que le système
juridique du Québec est en piteux état avec des personnes sans morale de cet
acabit ? Comment peut-elle demander de respecter la loi quand elle-même ne
la respecte pas,c’est une vraie honte pour le système juridique !
Pourquoi avoir choisi Gérard Lambert et
René Beauchemin
comme enquêteurs, du même bureau que le Dr. Jean Hould (1701 Parthenais,
Montréal) ?
Pourquoi la Commission Céline
Lacerte-Lamontagne dit-elle que même si
Kathleen Reichs travaille à l`Institut de Médecine Légale, que son
travail n`est pas biaisé ?
Pourquoi la C.L.L. dit-elle que même si le
Dr. Baden était sur la liste fournie par l`Institut Médico-Légal au
Ministre, ce n`est pas `biaisé` ?
Comment la Commission peut-elle expliquer
la fuite avec le journal `La Presse`
( Mathieu Perreault
) 29 août 1996, puisque les rapports ne sont pas déposés ?
Comment la Commission peut-elle expliquer
la fuite avec le Journal de Montréal
(Michel Auger) le 9 septembre 1996
puisque les rapports ne sont toujours pas déposés.
Comment la Commission peut-elle expliquer
que le rapport a été donné aux journalistes AVANT que Me Pierre Gagnon
(procureur de la famille Dupont) ne l`ait eu, comme convenu ? Il a été donné
le 4 décembre 1996 aux journalistes (voir
section 12 a) Harold Gagné).
Est-ce que certains médias avec la
Commission ne pouvaient-ils pas ainsi décider de l`issue de la Commission
Céline Lacerte-Lamontagne ?
Pourquoi la Commission n`a-t-elle pas
respecté son engagement envers la famille qui concernait la venue d`experts
en différents domaines soient : un spécialiste en identification
d`empreintes diverses, (traces de pneus, photo 3),
un spécialiste en chirurgie faciale (photo 7), un
odonthologue pour la fiche dentaire et un spécialiste en rayons X pour la
radiologie.
Pourquoi la Commission en juillet 1996
a-t-elle demandé à la famille de dresser une liste de témoins (plus de 20
noms produits) qui auraient dû être entendus vu leur importance dont des
signataires de documents ou de rapports reliés à l`affaire, alors que la
Commission les a rejetés dans son ensemble, y compris le Dr. James Ferris
pour une raison ou une autre, retenant uniquement le Dr. Louis S. Roh.
Photo de ce qui reste du hangar où l’auto de service du
sergent-détective Dupont a été placée vers la fin de l’après-midi du
10 novembre 1969 (journée de la découverte du corps de ce dernier). Ce
hangar est demeuré intact jusqu’à ce que la famille demande aux « enquêteurs »
de la Commission Céline Lacerte-Lamontagne un test de luminosité du hangar
dans la dernière semaine avant l’ajournement de cette dernière pour
cinq (5 ) semaines. Quelques jours plus tard,
le hangar s'enflammait d'une main criminelle et ce après 27 ans ! Quelle
drôle de coïncidence ?
Photo de ce qui reste du hangar où l’auto de service du
sergent-détective Dupont a été placée vers la fin de l’après-midi du
10 novembre 1969 (journée de la découverte du corps de ce dernier ). Ce
hangar est demeuré intact jusqu’à ce que la famille demande aux « enquêteurs »
de la Commission Céline Lacerte-Lamontagne un test de luminosité du hangar
dans la dernière semaine avant l’ajournement de cette dernière pour
cinq (5 ) semaines. Quelques jours plus tard,
le hangar s'enflammait d'une main criminelle et ce après 27 ans ! Quelle
drôle de coïncidence ?
Chaque participant (famille Dupont, Ville
de Trois-Rivières, procureurs de la Commission) a eu une série identique de
photographies de l`exhumation et de la ré-autopsie effectuée en 1996.
Pourquoi la Commission a-t-elle changé le numéro de la photo 161 en numéro
167 en modifiant le 1 pour faire un 7 dans sa propre série qu`elle utilisait
pour questionner les témoins (preuves à l`appui ainsi que le témoignage de
M. Yvon Martin (Archiviste en chef aux Archives Nationales de
Trois-Rivières) en Cour Supérieure du Québec en juin 1997, lors du dépôt de
l`ensemble du dossier Dupont pour la requête en chambre civile).
Comment la Commission Lacerte-Lamontagne
peut-elle faire témoigner deux personnes (Yves
Quévillon et Anne-Élisabeth
Charland de la GRC) qui n`ont
pas les qualifications requises : Dans le cas de Yves Quévillon pourquoi ne
pas avoir choisi un spécialiste en balistique ?
Dans le cas de Anne-Élisabeth Charland,
pourquoi ne pas avoir choisi une biochimiste au lieu d`une spécialiste
judiciaire en biologie, et pourquoi lui avoir caché que la note d`adieu
tachée de sang avait été contaminée par de la fumée lors d`un incendie à la
résidence de Mme Armande Valois
plusieurs années auparavant ?
Pourquoi la Commissaire dit-elle que le
Dr. Hould dans la note qu`il a fait parvenir au coroner en 1969, n`émettait
aucun commentaire sur l`événement d`un suicide ou d`un homicide alors que:
Dans son rapport du 17 novembre 1969, M. Massicotte mentionne qu` "un rapport
complet de l`autopsie suivra à l`intention du coroner" (VII a)) et dans ce
rapport, en début, il est écrit A.S.A.F. (Autopsie, Suicide, Arme à feu) ?
Pourquoi la Commission Céline
Lacerte-Lamontagne a-t-elle caché des photos d`autopsie de Monsieur Dupont
faite en 1969 lors des procédures de ladite Commission en 1996 (août) selon
les notes sténographiques du témoin Yves Quévillon (voir
section VI L) ? Celui-ci nous disant ne pas être capable de situer
adéquatement la plaie au thorax (photo no 12) avec la photo disponible à
cette même audition de la Commission. M. Quévillon a témoigné à l`effet que
l`enquêteur Gérard Lambert de la C.L.L. lui aurait montré d`autres photos
montrant le côté du corps (donc de plus grandes dimensions)
lesquelles nous situaient le haut et le bas du corps, mais malheureusement
elle ne furent jamais produites par la Commission.
Peut-on supposer qu`une de ces photos nous montrant le haut du dos ou le dos
dans son ensemble (du haut des fesses jusqu`au coup), qu`elle montrerait une
plaie d`arme à feu au bas du dos ainsi que celle (2e plaie) décrite par le
photographe judiciaire de 1969, M. Denis Martin (voir son témoignage de juin
1996) et le thanatologue (embaumeur) M. Julien Philibert (voir
son témoignage du 28 juin 1996), ce dernier la situant à l`omoplate tel
qu`ils l`ont vue en 1969 ?
Nous aurait-elle été cachée de la même façon que celle du thorax ci-haut
mentionné par M. Quévillon ? ( C`est pouquoi il est pertinent selon nous de
croire à la présence de deux plaies distinctes au dos ! )
Pourquoi
M. Marcel Canuel (Archiviste à la C.P.Q., lequel organisme est
maintenant appelé `Commissaire à la Déontologie policière`), après plusieurs
fouilles dans les archives de la C.P.Q. (1992-95, etc), n`a-t-il jamais
trouvé les photos montrant M. Dupont décédé dans l`auto de service en 1969
ainsi que la petite note d`adieu, lesquelles ont été données aux enquêteurs
de la C.P.Q. en 1982 par Mme Dupont (lors de la 2e enquête de la C.P.Q. sur
la Police de Trois-Rivières) ? Dans son témoignage du 22 août 1996
(C.L.L., p. 8, 9, 10, 19, 20): `Je n`avais que des photocopies de ces photos
aux archives.`
Remarque : M. Canuel, qui est un homme droit et franc, rencontre
avec le commissaire Me Denis Racicot
le mercredi 14 août 1996 les deux enquêteurs de la C.L.L. Mrs. Gérard
Lambert et René Beauchemin, lesquels sont autorisés par
Me Racicot à feuilleter les 15 caisses d`archives.
ET
Comment Monsieur Canuel, à la demande des deux enquêteurs de la C.L.L.
(Lambert et Beauchemin), en faisant un nouvel inventaire du dossier le
vendredi 16 août 1996 (deux jours après le passage de ces deux
enquêteurs à Québec), peut-il découvrir les photos originales et la
petite note d`adieu (billet de 4 pouces X 7 pouces - 10 cm X 17.5 cm) sans
qu`il ne les avait jamais vues ou retrouvées auparavant ?!
Lors de son témoignage (C.L.L.) :
"C`était des documents qu`on appelle des `appendices` à un rapport d`enquêteur
que j`ai retrouvés entre deux chemises, je suis tombé à la renverse sur ce
document."
"Lorsque j`ai témoigné en Cour Supérieure du Québec en novembre 1995, j`ai
prêté serment et j`étais de bonne foi et j`étais certain d`avoir vérifié en
profondeur le dossier ( recherche des photos originales et note d`adieu ) et
j`étais prêt à le jurer. Je suis le premier surpris. ( retrouvailles des
photos et de la note d`adieu )"