Index des noms des personnes citées
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Ferris, James A. J. | Pathologiste judiciaire (anatomo-pathologiste) de Vancouver, Colombie-Britannique, Canada, expert pour la famille Dupont. |
Fifth Estate | Émission anglaise de `Grands reportages` télédiffusée par la Société Radio-Canada (CBC). |
Fontaine, Marie-Marthe | Soeur du Montagnais Moïse Régis, décédé en 1977 à Sept-Îles. |
Fournier, Louis-Charles |
Juge en chef de la Cour du
Québec. En début de 1996, il est choisi par le
Gouvernement du Québec pour trouver un(e) juge pour présider une Commission
d’enquête publique, celle de monsieur Dupont. Le juge Louis-Charles Fournier arrête son choix sur la juge Céline Lacerte-Lamontagne de la Cour du Québec pour présider en tant que Commissaire à la « Commission d’enquête publique sur les circonstances entourant la disparition et le décès du sergent-détective Louis-Georges Dupont en 1969 ». En août-septembre 1996, pendant que la Commission d’enquête siège à Trois-Rivières, le juge Louis-Charles Fournier se destitue lui-même de juge en chef à simple juge après s’être fait prendre à faire de la double facturation au Gouvernement…etc. Et pour ce qui concerne madame la Commissaire, cette dernière a recommencé le débat du suicide et du meurtre que la Cour Supérieure du Québec avait pourtant tranché le 20 décembre 1995. La Commission n’a existé qu’à cause de ce que le juge a retenu comme preuve :"Le Tribunal le répète qu'avec toute la "preuve" faite lors de l'audition de la présente "requête en mandamus"(novembre 1995) qu'il "ne sera pas nécessaire" de faire témoigner à nouveau tous les experts déjà entendus et de retenir NOTRE OPINION comme étant celle d'un MEURTRE plutôt que celle d'un suicide".. De plus le Gouvernement n’est pas allé en appel du jugement dans les 30 jours devant 3 juges comme le permet la loi. De plus, la Commission a fait un appel déguisé en ne reconnaissant pas et en écartant le jugement de la C.S.Q. 6 mois plus tard. |
Gabias, André |
Avocat (firme Jolicoeur et associés) de Trois-Rivières; mandaté par la ville de Trois-Rivières ( Guy Leblanc, maire ainsi que le conseil municipal ) pour représenter celle-ci à la C.L.L. contre la famille Dupont. Me André Gabias est le fils de l`ex-juge Yves Gabias, ancien député provincial pour Trois-Rivières en 1969. André Gabias est actuellement président de l`association du parti libéral du Québec pour Trois-Rivières. Son candidat était Me Guy Leblanc, maire de Trois-Rivières lors de l`élection du 30 novembre 1998. Depuis 2003, il est devenu le nouveau député provincial (parti libéral) pour Trois-Rivières. |
Gagné, Harold | Directeur de l`information de la chaîne de télévision CHEM Télé-8 (TVA) de Trois-Rivières en 1996. |
Gagnon, Claude | Avocat pour le Procureur général et le Ministre de la Justice de la province de Québec en 1995-96. |
Gagnon, Georges (Son vrai prénom est "Louis-Georges" même s'il signait "Georges") |
Capitaine-détective à la Sûreté municipale
de Trois-Rivières en 1969, rétrogradé
à la police en janvier 1970, suite à la première
enquête de la C.P.Q. sur le corps policier de Trois-Rivières. En 1969, il était
voisin des détectives Jean-Marie Hubert, Paul Dallaire, Lawrence Buckley. (Il demeurait au 2732 Père Daniel, Trois-Rivières) |
Gagnon, Pierre | Avocat et procureur de la famille Dupont de 1992 à 1999. Et depuis, il pratique en Colombie-Britannique comme Procureur de la Couronne. |
Garceau, Gilles-Guy | Notaire en 1969 (Bureau: 1185 Hart, Trois-Rivières) |
Gendron, Fernand | Sergent-détective à la Sûreté municipale de Trois-Rivières en 1969. |
Gendron, Jacques | Connaissance de Louis-Georges Dupont et propriétaire du salon `La Perruque Inc.` à Trois-Rivières en 1969. |
Gignac, Robert |
Personne arrêtée par le sergent-détective
(policier) L.G. Dupont. en 1969 et les années précédentes.
Pour en savoir plus sur ce personnage, consulter le livre "La
Filière Canadienne" écrit par Jean-Pierre
Charbonneau (ancien journaliste et maintenant Député, Ministre et Président de l'Assemblée nationale du Québec) édition 1975 ou édition remaniée de 2002( aux pages 188-195-197-199-200). Éditeur: Trait d'union. |
Gingras, André | Chef du secrétariat de police de Trois-Rivières en 1969. (Il demeurait en 1969 au 2210 De Longueuil, Trois-Rivières.) |
Gingras, Jacques | Journaliste pendant 30 ans. À travaillé successivement pour la chaîne de télévision CKTM-TV (SRC), journal `La Presse`de Montréal et au quotidien `Le Nouvellliste` de Trois-Rivières et ce pendant les événements troubles de la fin des années 60 et début 70. |
Godin, Ivan | Avocat en 1969, (bureau: 1185 Hart, Trois-Rivières) maintenant juge. |
Gosselin, Linda | Amie d`enfance de Johanne Dupont en 1969. |
Gosselin, Roger | Juge et président de la première enquête de la Commission de Police du Québec qui s`est tenue en 1969 sur le corps policier de Trois-Rivières, lequel a fait détruire plusieurs témoignages de cette même Commission (C.P.Q.) le 17 octobre 1977. |
G.R.C. | Gendarmerie Royale du Canada (Police Fédérale Canadienne). |
Grenier, Hélène | Avocate et commissaire travaillant à la Commission de l`Accès à l`Information (1997-98). |
Guay, Jos | Conseiller municipal (échevin) à la ville de Trois-Rivières en 1969. |
Harrison,Claude |
Policier de la Sûreté du Québec(S.Q.), matricule 7186.En 1996,il travaillait comme agent au service d’identification judiciaire au 1701 Parthenais, Montréal. Le 26 août 1996, il est attitré comme responsable pour les vidéos judiciaires lors de l’exhumation no.166-960613-003 du corps du sergent-détective Louis-Georges Dupont au cimetière St-Michel de Trois-Rivières ainsi que pour la ré-autopsie le lendemain 27 août à l’Institut de médecine légale ( IML) à ce même 1701 Parthenais,Montréal.Ce dernier a eu connaissance des manipulations et de la fabrication de preuve du pathologiste le Dr.Michael Baden qui a fait un trou dans le sternum en l'absence du Dr.Louis S.Roh,pathologiste représentant la famille Dupont.Tout ceci a été fait dans le but évident de continuer de cacher le meurtre et de le déguiser en suicide. Malheureusement,monsieur Harrison ferma les yeux sur les agissements du Dr.Michael Baden et par le fait même s’est fait le complice en manquant à son devoir de policier.
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Hainse, Paul | Journaliste au journal `Le Nouveau Samedi` (Montréal) en 1969-70. |
Hebdo Journal | Hebdomadaire de la région de Trois-Rivières et Cap-de-la-Madeleine |
Héon, Jules | Sténographe judiciaire au Palais de Justice de Trois-Rivières en 1969. |
Heureux, Rosaire S. | Pesonnage inconnu et introuvable dont le nom figure comme « Dr.Rosaire S.Heureux» au bas du rapport d`un supposé électro-cardiogramme qu`aurait subi M. Dupont au centre Hospitalier St-Joseph de Trois-Rivières, le 14 octobre 1969 (3 semaines avant sa disparition). Ce rapport signé par un médecin de l’hôpital St-Joseph de Trois-Rivières en 1969 dont personne ne connaît l’identité et qui n’a jamais entendu parler de lui a été présenté comme une preuve par Me François Daviault (avocat de la Commission Lacerte-Lamontagne). Laquelle preuve essayerait d’insinuer que M.Dupont souffrait de dépression nerveuse. Me François Daviault a encore 1 fois trompé la population et la Justice avec l’aide de la Commissaire Céline Lacerte-Lamontagne, laquelle juge de Montréal, est indigne de juger qui que se soit. Elle-même devrait être arrêté et jugé pour son non respect des lois. Comme vous savez, elle a pris le mandat du Gouvernement et elle a accepté d’instruire une «Commission enquêtant sur les circonstances entourant la mort et la disparition du sergent-détective Louis-Georges Dupont » laquelle avait été ordonnée par le juge Ivan St-Julien de la Cour Supérieure du Québec en décembre 1995. |
Houde, Pierre | Procureur de la Couronne en 1969, et par la suite juge (district de Trois-Rivières). |
Hould, Jean |
Médecin à l`Institut Médico-Légal
de 1968 à 1996, sans jamais avoir eu les qualifications
requises d`anatomo-pathologiste ou pathologiste judiciaire (voir
l`Annuaire du Collège des Médecins du Québec,
1995-1996 : Jean Hould m.d.), pratiquant au 1701 Parthenais,
Montréal, province de Québec, Canada. Il a même trompé les « Cours de Justice » en se faisant admettre comme « Expert »et faussé ainsi plusieurs procès dont les jugements n’ont jamais été corrigés. En 1994,sa consoeur la pathologiste Marsha Sklar et ses confrères les pathologistes André Lauzon, Claude Pothel, André Bourgault et Raymond Trudeau ont signé 2 rapports allant à l’encontre de la « science de la médecine légale »dans le but d’essayer de sauver la tête de ce dernier suite à sa fausse autopsie pratiquée sur le sergent-détective Louis-Georges Dupont le 10 novembre 1969 à ce même Institut: « Suicide au lieu de Meurtre ».
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Hubert, Jean-Marie |
Lieutenant-détective à la Sûreté municipale
de Trois-Rivières en 1969, et destitué en janvier
1970, suite à la première enquête de la C.P.Q.
sur le corps policier de Trois-Rivières. En 1969, il était voisin des détectives Paul Dallaire, Lawrence Buckley, Georges Gagnon. (Il demeurait au 2552 Père Daniel, Trois-Rivières) |
Institut Médico-Légal (I.M.L.) | Institut Médico-Légal (1701 Parthenais, Montréal, province de Québec, Canada). En 1994-95-96….. ce batiment abritait aussi le quartier général de la Sûreté du Québec (S.Q.); la Morgue de Montréal; le Laboratoire de Police Scientifique du Québec; la prison Parthenais; etc…. En 1969, il abritait aussi le Bureau-chef des Coroners du Québec lors du décès de Louis-Georges Dupont. Tout était en place pour magouiller à qui mieux mieux ! |
Jacob, Serge | En 1996, directeur de l`école St-Coeur-de-Mairie. Époux d`Odette Gagnon, fille du capitaine-détective Georges Gagnon. |
Jacoby, Daniel | Avocat et Protecteur du citoyen du Québec (Ombusman) en 1996. |
Jourdain, Élie-Jacques | Chef des Montagnais en 1996 (Sept-Îles). |
Journal de Montréal, Le | Quotidien de Montréal. |
Julien, Guy |
Député de Trois-Rivières en 1996 et ministre provincial du parti Québécois (parti au pouvoir) 1998-99. |
Kass, George G. | Personne ressource mandatée par Forensic Ammunition Services, Okemos, Michigan (U.S.A.). |
Kennedy, John F. | Président des États-Unis (U.S.A.), assassiné en 1963. |
King, Martin Luther | Docteur, pasteur et ardent défenseur des droits civiques pour les Noirs aux États-Unis (U.S.A.) assassiné en 1968. |
Laboratoire de Police Scientifique (L.P.S.) | Organisme relevant du ministère de la sécurité publique. Il vise à effectuer les expertises nécessaires en laboratoire afin de fournir des preuves, dans le câdre de procès (1701 Parthenais, Montréal). |
Lacerte-Lamontagne, Céline |
En 1996, juge à la Cour du Québec depuis quelques années et siégeant à Montréal. Mariée au psychiatre Dr. Yves Lamontagne, ayant travaillé à l`Institut psychiatrique Louis-Hippolyte Lafontaine (Montréal), et promu en octobre 1998 président du Conseil des Médecins du Québec. Monsieur Lamontagne a aussi été président des psychiatres du Québec par le passé. Mme Lamontagne a agi comme Commissaire et présidente de ladite Commission enquêtant sur les circonstances entourant la disparition et le décès de Monsieur Dupont survenu en 1969. |
Lachambre, Pierre | Chimiste pour le laboratoire de Police Scientifique et l`I.M.L. en 1969 (1701 Parthenais, Montréal). |
Lambert, Gérard | Enquêteur principal de la C.L.L. en 1996, supposément retraité depuis novembre 1995 du Bureau-chef de la Sûreté du Québec ( 1701 Parthenais, Montréal). |
Lamy-Dupont, Jeanne d'Arc | Épouse du sergent-détective Louis-Georges Dupont. |
Laporte, Pierre | Député, ministre provincial, assassiné en 1970. |
La Presse, Journal | Journal quotidien à Montréal. |
Larivière, Richard | Huissier de justice instrumentant, ayant pour mandat `La chaîne de possession` du corps de M. Dupont (suivre le corps dans son entier) de l`exhumation du 26 août 1996 à l`inhumation du 28 août 1996. |
Laroche, Claudette | Nièce du sergent-détective Louis-Georges Dupont. |
Lauzon, André |
En 1996,pathologiste et directeur de l’Institut Médico-Légal du Québec ainsi que patron immédiat de l`anthropologue judiciaire Kathleen Reichs (1701 Parthenais, Montréal). Maintenant responsable de la médecine légale au sein de la direction des expertises judiciaires depuis 1992. .En 1994, ce dernier a signé 2 rapports qui vont à l’encontre de la « science de la médecine légale » dans le but d’essayer de sauver la tête du Dr.Jean Hould suite à sa fausse autopsie pratiquée sur le sergent-détective Louis-Georges Dupont le 10 novembre 1969 à ce même Institut : « Suicide au lieu de Meurtre ». |
Lauzon, Benoît | Avocat et attaché-politique du ministre de la Sécurité publique Serge Ménard en 1995-96. |
Lavoie, Louise | Juge de paix à Trois-Rivières en 1996, maintenant à Shawinigan. |
Leblanc, Guy | Notaire, maire de Trois-Rivières depuis 1990 et candidat libéral provincial pour l`élection du 30 novembre 1998. Il a été défait à cette même élection mais demeure maire de Trois-Rivières jusqu’à sa promotion à l’automne 2000 comme président de la C.M.Q.( Commission municipale du Québec). Depuis le tout début (1990), il a été un farouche opposant de la famille Dupont (dans sa quête pour savoir la vérité sur le décès du sergent-détective Louis-Georges Dupont). |
Leboeuf, Robert | Journaliste au quotidien `Le Nouvelliste` de Trois-Rivières en 1969. |
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