ET QUE PEUT-ON PENSER DE...

Le Dr. Louis S. Roh travaille comme pathologiste judiciaire et est Deputy Medical Examiner (Coroner) en charge du comté de Westchester dans l’état de New-York.

En 1993, il a fourni une expertise à l’agence T.A.S.A., suite à une demande d’expertise de Me Pierre Gagnon. Cette même expertise, au coût de $1 500.00 (mille cinq cent dollars) devait amener aussi avec l’expertise du Dr. James A.J. Ferris(d`un coût semblable), à une Commission d’enquête publique "ordonnée" en toute connaissance de cause par un juge de la Cour Supérieure du Québec à un des ministres qui avaient toujours refusé.

En fournissant ces expertises, le Dr. Roh et le Dr. Ferris contredisaient complètement les rapports du Dr. Jean Hould ainsi que ceux de l’Institut Médico-Légal de Montréal.

Quels avantages avaient le Dr. Roh ou le Dr. Ferris à fournir des expertises différentes des docteurs de l’Institut Médico-Légal de Montréal ?

Le Dr. Roh n’avait rien à gagner à contredire entièrement les résultats de l’autopsie en 1969.

AUCUN MÉMOIRE ÉCRIT DE Me ANDRÉ GABIAS,
représentant les intérêts de la Ville de Trois-Rivières à la Commission Céline Lacerte-Lamontagne.

Malgré tout ce qui précède l’enquête policière bâclée, le refus de la Ville à collaborer dans la remise des documents, la mauvaise foi soulignée par deux juges de la Cour Supérieure du Québec, et même la Commission Lacerte-Lamontagne, Me André Gabias n’a pas senti la nécessité d’en produire un ?


CONCERNANT LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE :

Quelques mois après le dépôt du rapport de la C.L.L. (28 novembre 1996), le Ministère de la Sécurité Publique s`empressa d`afficher un résumé de son cru sur le web afin d`entretenir la thèse du suicide, comme en 1969. Pourtant un an plus tôt, ce même ministère obéissait de plein gré à l`ordre de la Cour Supérieure du Québec en décembre 1995, de tenir une enquête publique. Ce faisant, en s`abstenant de son droit en appel devant cette même cour, le ministère de la Sécurité publique du Québec acceptait le jugement dans son ensemble, lequel spécifiait la cause de la mort comme étant un meurtre. (Voir section XI 8) et 9) ainsi que section XIII b) )

CONCERNANT LA JUGE
CÉLINE LACERTE-LAMONTAGNE
:

Malgré tout ce qui précède: l’enquête de la Commission de Police à l`époque, la collusion de la police avec la pègre, leurs témoignages à l’enquête de la C.P.Q. (Commission de Police du Québec), l`enquête policière bâclée, les expertises bâclées, l’enquête du coroner bâclée, l’enquête confiée à M. Dupont par Me Jean Méthot (septembre-octobre 1969) sur un membre de la pègre montréalaise, un dossier d’enquête 1060-259 sur un membre du département sous enquête de la C.P.Q., les questions, interrogations, documents, plusieurs rapports différents de M. Jean Lepage et de M. Jean Hould, les pièces disparues ect, ect...Madame la Commissaire en est quand même arrivée à en conclure que :

LA PREUVE DANS SON ENSEMBLE ET LES COMPOSANTES DU DOSSIER RENDENT DAVANTAGE PLAUSIBLE LA THÈSE DU SUICIDE !?


 


 

Après avoir obtenu et vécu une telle Commission, pour la famille Dupont ;

Les résultats contradictoires sur la ré-autopsie de 1996, laissent encore beaucoup de questionnement sur la vérité et la justice d’une Commission d’enquête publique.

 



Ainsi, non seulement nous croyons, mais nous sommes en droit de nous poser la question suivante ;

 

" À quoi sert une Commission d`enquête publique au Québec, telle que vécue par la famille Dupont ? "



 


Après avoir vécu un tel disfonctionnement provenant d`une entité telle que le gouvernement, sur laquelle nous sommes supposés pouvoir se référer, voici nos recommandations pour l`amélioration du processus des Commissions d`enquête à long terme.


    Après que le système judiciaire ait connu un tel dérapage, il est évident que le processus des commissions d`enquêtes publiques doit absolument changer. Ces changements doivent être apportés pour que la vérité soit connue dans le plus de cas possible et que justice soit faite dans des dossiers tels que celui qui nous concerne. Voici donc, découlant de notre expérience à la Commission Céline Lacerte-Lamontagne, certains points que nous jugeons essentiels en ce sens;


  1. Que l`enquête soit tenue dans un palais de justice et non dans une salle quelconque.

  2. Un juge d`une autre instance que celle relevant du ministre ou du ministère à qui l`ordre est intimé.

  3. Douze jurés choisis par voie normale et impartiale comme dans les procès tenus devant les instances supérieures et à l`abri des médias.

  4. Un procureur de la couronne en fonction et non un avocat d`un bureau quelconque.

  5. Des policiers en fonction ; d`un autre corps policier et sans conflit d`intérêt tels que l`on voit lors de missions internationales et non des policiers à la retraite.

  6. Des experts crédibles, reconnus et acceptés par les partis concernés et non imposés par la Commission.

  7. La preuve dans son ensemble, les témoignages, les déclarations devraient être disponibles aux partis concernés.






La famille Dupont vous remercie.

Puisse qu`en tout temps justice soit faite.

 


Famille Dupont -1964

 





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