XII b)-
La continuité des débats
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2. |
Demande à la Commission d`Accès à
l`Information (documents) de la part de madame Dupont au Centre
Hospitalier St-Joseph (Centre Hospitalier Régional
de Trois-Rivères) en date du 16 avril 1997. |
a) | Cette demande faisait référence au dossier complet, radiographies et plus particulièrement à un électrocardiogramme qu`aurait subi M. Dupont le 14 octobre 1969 par le Dr. Rosaire S. Heureux au Centre Hospitalier St-Joseph de Trois-Rivières, sur la demande du Dr. Raymond Létourneau lequel travaillait pourtant au Centre Hospitalier Ste-Marie de Trois-Rivières. |
b) | Refus du Centre Hospitalier St-Joseph de donner les documents à Madame Dupont (épouse, veuve, héritière et légataire universelle de M. Dupont) en date du 1er mai 1997. |
c) | Demande de révision de Madame Dupont à la Commission d`Accès à l`Information en date du 17 mai 1997 concernant le refus du Centre Hospitalier St-Joseph. |
d) | Lettre de la Commission d`Accès à l`Information en date du 4 juin 1997 du médiateur (aucune médiation ne fut possible avec l`hôpital). |
e) | Lettre de la Commission d`Accès à l`Information en date du 20 juin 1997 fixant l`avis de convocation et d`audition des partis au 20 octobre 1997 au Palais de Justice de Trois-Rivières. |
f) |
Décision de la Commissaire de l`Accès à
l`Information datée du 1er avril 1998 de Québec
et signée Me Hélène
Grenier : « En preuve : madame Annie Saucier, archiviste médicale à l`emploi du Centre Hospitalier St-Joseph témoigne sous serment. Elle affirme que le dossier détenu par l`organisme concernant M. Louis-Georges Dupont n`a pas été détruit ou épuré. Elle précise que l`organisme ne détient pas d`électrocardiogramme concernant M. Dupont ; elle ajoute que les seuls documents détenus concernant M. Dupont datent de 1940 et 1945. Elle souligne qu`un enquêteur de la Commission Céline Lacerte-Lamontagne s`est présenté à l`hôpital le 2 juillet 1996 et que l`organisme lui a remis une attestation indiquant qu`aucun renseignement autre que ceux datant de 1940 et 1945 n`étaient détenus par l`organisme. La preuve me convainc également que le contenu de ces documents n`est pas accessible à la demanderesse, épouse de M. Dupont. Pour ces motifs, la Commission rejette la demande de révision de la demanderesse.» Note: Malgré l`attestation de l`hôpital St-Joseph fournie à la Commission Lacerte-Lamontagne , les procureurs de cette dernière ont mis en preuve un document qui n`existe pas et par surcroît portant le nom d`un médecin que personne ne connaît. Ce document a été fourni par le docteur Raymond Létourneau et non l`hôpital St-Joseph, comme le laissait entendre le procureur de la C.L.L. Me François Daviault : «Il s`agit du document C-45-C (exhibit) qui provient de l`hôpital St-Joseph de Trois-Rivières et du département de cardiologie et qui est le résultat de l`électrocardiogramme de M. Dupont. (voir témoignage Dr. Raymond Létourneau, 5 juillet 1996, p. 104 devant la C.L.L..). Pourquoi le dr. Létourneau aurait-il fait subir un électrocardiogramme dans un autre hôpital que celui où il travaillait pourtant plus spécialisé que l`autre ? Et vous voyez pourquoi la Commission (C.L.L.) n`a pas voulu éclaircir à fond ce point avec le dr. Létourneau ! Fabrication de preuve ou pas ?! |
3. |
Reportage télévisé CKTM-TV (SRC) mai
1997 (reporter Pierre De La Voye) |
Ceci est un petit rappel de la journée de la ré-autopsie
du 27 août 1996 à l`Institut Médico-Légal
de Montréal. Des radiographies et photos furent prises du sternum de M. Dupont avant 16:50 h (16:43h et 16:46h, photos nos. 14-15) en présence du Dr. Louis S. Roh. À 16:50 h le Dr. Roh, après sa prise personnelle des photos et radiographies du sternum etc, quitte la salle des rayons x en saluant le huissier R. Larivière et s`en alla changer de vêtements pour retourner chez-lui. Entre temps le Dr. Michaël Baden resta dans la salle des rayons x avec le sternum et en est ressorti à 16:57 h en demandant au huissier d`aller chercher le Dr. Roh car il venait de trouver un trou dans le sternum, lequel avait échappé aux rayons x et ce recto-verso. De nouvelles photos et radiographies du sternum furent prises vers 17:25h (photos nos 16-17)de la même journée après plusieurs discussions entre les docteurs Roh et Baden. Donc, en mai 1997, un petit reportage fut réalisé chez les Dupont par le poste de télévision CKTM-TV 13 (S.R.C.) de Trois-Rivières. Le but de l`exercice était la comparaison d`une radiographie du sternum prise avant 16:50 h en présence du Dr. Roh avec une autre radiographie du sternum prise vers 17:25 h (celle avec le trou "découvert" par le Dr. Baden seul à 16:57 h) car des choses inexplicables sont apparues et d`autres ont disparu dans la comparaison des radiographies côte à côte. |
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4. | Audition devant la Cour Supérieure du Québec (chambre civile) le 18 juin 1997, concernant les indemnités salariales (pension de policier) depuis 1969. Présentement le 5 août 1999 toujours en attente du jugement. |
5. |
Suite à une annonce du Dr. Raymond
Létourneau dans le journal `Le Nouvelliste` disant
que les personnes désirant prendre possession de leurs
dossiers pourront le faire entre le 30 novembre 1997 et le 31
janvier 1998 car il prend sa retraite (54-55 ans). Madame Dupont
en tant que veuve et héritière et légataire
universelle de M. Dupont a fait une demande verbale au bureau
de ce dernier vers le 20 janvier 1998. N`ayant aucune réponse
à sa demande, Mme Dupont faisait parvenir une lettre le
27 janvier 1998 par huissier (rapport de signification) au docteur
Raymond Létourneau. La demande consistait à ses notes écrites originales, presciptions de médicaments et les dates de visites ainsi que le rapport original de l`électrocardiogramme de l`hôpital St-Joseph de Trois-Rivières du 14 octobre 1969, ainsi que le rapport d`autopsie que Mme Dupont lui aurait supposément donné en 1969. Dans le témoignage du Dr. Létourneau à la Commission Lacerte-Lamontagne le docteur disait vouloir garder ses originaux en souvenir ainsi que ses écrits lesquels il avait retrouvés dans le sous-sol de son bureau après une recherche de deux heures et demie la journée où il avait reçu son subpoena (p.160-161 du témoignage du dr. Létourneau le 5 juillet 1996). Dans sa lettre du 3 février 1998, le Dr. Létourneau expliquait qu`il avait témoigné plus de trois heures et qu`une photocopie complète du dossier de M. Dupont avait été faite et déposée au dossier de la Commission Lacerte-Lamontagne. Il dit que lorsque le rapport de l`enquête Lacerte-Lamontagne fut rendu public, qu`il a alors détruit le dossier de M. Dupont car son décès remontait à plus de 25 ans et que la loi exige la conservation au moins 5 ans après le décès. Il dit aussi que ce fut tout un hasard de retrouver le dossier lors de l`enquête publique de 1996. |
6. |
Une plainte fut portée à la Commission
Poitras (enquêtant sur la Sûreté du Québec)
, au Palais de Justice de Montréal après un entretien
avec deux enquêteurs de cette Commission au 10e étage
le 28 janvier 1998. Une réponse de quelques lignes nous
parvenait le 25 février 1998 nous disant que les comportements
visés par nos allégations ne faisaient pas
l`objet du mandat légal de la Commission. La plainte en question visait les deux photographes judiciaires de la S.Q. qui étaient présents à la ré-autopsie du 27 août 1996 et qui n`ont pas fait leurs devoirs et tant que policiers en taisant ce qu`ils ont vu. |
7. |
Une seconde plainte à la Commission Poitras fut faite
le 3 avril 1998. Une copie identique de cette plainte
ainsi que de la documentation fut envoyées séparément
aux trois Commissiaires Me
Lawrence Poitras, Me André
Perreault et Me Louise
Viau. Une cassette vidéo de Télévision
CKTM-TV 13 (SRC) faite en mai 1997 sur le sternum a aussi été
expédiée spécialement. Cette deuxième
plainte reprenait les dires de la première mais avec des
photographies laser montrant le sternum recto-verso ainsi que
les rayons X recto-verso du sternum avant 16:50 h (photos 14-15)
et après 16:57 h (photos 16-17), etc... Une réponse le 16 avril 1998 nous parvenait de la Commission : " Le manquement que vous reprochez aux deux membres de la S.Q. ne s`inscrit pas dans le cadre d`une enquête criminelle tel que le requiert l`énoncé de notre mandat dans le cadre du volet -1- des travaux de la Commission". Le mandat de la Commission est énoncé par décret de la façon suivante : Volet 1 «Les pratiques ayant cours en matière d`enquête criminelle à la Sûreté du Québec dans les cas de crime majeur ainsi que la gestion et l`encadrement de ce type d`enquête.» |
8. |
Une copie conforme des plaintes à
la Commission Poitras fut aussi expédiée au Protecteur
du Citoyen, Me Daniel Jacoby En attente d`une réponse présentement. |
XII c)-
Recherches d`un cas similaire
(Cas de recherche)
1-Au niveau de l`enquête policière et de l`autopsie.
Caractéristiques :
Blessure d`entrée par arme à feu plus grande (12 mm) que la blessure de sortie (5 mm) suivant la théorie du `Shored exit wound`(ou l`expression du docteur Jean Hould` Short exit room`).
Personne décédée dans une voiture, portes et fenêtres fermées (57, 58 degrés Farenheit).
Aucun sang sur la banquette et dans la voiture et ce après qu`une balle ait traversé le corps de bord en bord.Après cinq jours, le corps est sans lividité, putréfaction et aucune odeur perceptible.
1-Au niveau médical et radiographique
Caractéristiques :
Rayon X d`un sternum ou d`un os qui ne présente pas au départ de cavité (trou) de bord en bord et qui après un nettoyage en montre un sans que le rayon X l`ait montré au préalable...
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