Conspiration ? Corruption ? Des faits troublants...



VII h)-

(Les deux prochains rapports ne seront pas plus détaillés car ils représentent l`ensemble des expertises et rapports déja présentés dans ce site et devant la Cour Supérieure, reprenant en partie ou en entier l`expertise du Dr. Hould et de M. Lepage ainsi que les rapports fournis par la Sûreté du Québec à la Direction des expertises Judiciaires de Montréal.)

 

1er rapport de la
Direction des Expertises judiciaires
(Ministère de la Sécurité Publique).

RAPPORT DÉPOSÉ À LA
COUR SUPÉRIEURE DU QUÉBEC EN 1995
devant le juge Ivan St-Julien.



Ce rapport de 11 pages fait une étude complète du dossier L.G. Dupont avec tous les documents disponibles.

Ce rapport est signé par tous les pathologistes de l'Institut médico-légal, les Drs.André Lauzon (directeur), Marsha Sklar, Claude Pothel, André Bourgault et Raymond Trudeau
(y compris le Dr. Jean Hould), lors d'une réunion spéciale suite à un reportage spécial sur le décès de M. Dupont en 1969 à l`émission 'Newswatch' (C.B.C.) et 'Le Point' (S.R.C.).

Ce document est en fait une contre-expertise quant à l'expertise du Dr. Louis S. Roh.

Ce document est daté du 13 avril 1994.

Comme aberrations, en voici quelques unes sur plus d’une vimgtaine que l’on retrouve dans l’un des 2 rapports signés par l’ensemble des pathologistes du Laboratoire de médecine légale de Montréal dans le but ultime d’essayer de protéger l’un des leurs suite à une fausse autopsie du 10 novembre 1969. Même que ces derniers, dans le présent rapport, ne parlent que d’un seul projectile ayant atteint monsieur Dupont. Mais en 1996, le photographe de la police de Trois-Rivières de 1969 Denis Martin  ainsi que Julien Philibert, embaumeur et thanatologue de monsieur Dupont, ont témoigné à la Commission d’enquête publique Céline Lacerte-Lamontagne à l’effet d’un second projectile au haut de l’épaule gauche de ce dernier. Ces rapports nous démontrent une facette contraire à ce que l’on est en droit de s’attendre d’un tel Laboratoire qui manipule la vérité et les Cours de Justice à leur guise.



    Date :  6 avril  1994

    Objet : Étude complète du dossier Louis-Georges Dupont à partir des documents disponibles

      Cependant, le projectile était trop avarié pour  permettre de faire une identification
      positive quant à l’arme qui l’a tiré.

    Conclusion :

Nous ne pouvons pas dire qui tenait l'arme au moment de la décharge, mais nous pouvons affirmer que le projectile est entré à la poitrine antérieure et est sorti au dos avec une trajectoire compatible avec une  automanipulation de l'arme par la victime elle-même.















 VII i)-

 

Un deuxième rapport de la
Direction des Expertises judiciaires.

RAPPORT DÉPOSÉ À LA
COUR SUPÉRIEURE DU QUÉBEC EN 1995
devant le juge Ivan St-Julien.



Ce rapport de 4 pages est signé par tous les pathologistes de l'Institut médico-légal, les Drs.André Lauzon(directeur), Marsha Sklar, Claude Pothel, André Bourgault et Raymond Trudeau (sauf le Dr. Hould), pour contredire l'expertise du Dr. James A.J. Ferris.

Ce document est daté du 27 septembre 1994.










VII J)-

 

RAPPORT DU DR. GRAEME DOWLING

RAPPORT DÉPOSÉ À LA
COUR SUPÉRIEURE DU QUÉBEC EN 1995

devant le juge Ivan St-Julien.



Une expertise du Dr. Dowling en date du 6 juin 1995, a été fournie au bureau du ministre de la Sécurité Publique. Le Dr. Dowling a témoigné le 2 novembre1995 comme expert en pathologie judiciaire. Il a fait une étude des documents que la Direction des Expertises judiciaires lui avait fournis. Il a revu les documents disponibles et est arrivé comme eux avec la thèse du suicide. Il a fait des croquis de la blessure au thorax avec une acétate qu'il ajoutait par-dessus la blessure du thorax. Il a aussi montré des photographies d'armes à feu avec la flamme et les brûlures, poudre, ect...

L'expert Dowling est le seul à avancer la théorie du 'contact wound'.

Tous les pathologistes qui ont examiné le dossier, et qui l'ont précédé (six de l'Institut Médico-Légal), incluant le Dr. Hould et les Drs. Roh et Ferris n'ont rien vu de tel.

Les pathologistes de l'Institut Médico-Légal déclaraient dans ces mêmes rapports: ' qu'en aucun temps, ils ne savaient qui tenait l'arme au moment de la décharge '.

Le Dr. Dowling était le choix du Dr. André Lauzon (Directeur de l'Institut Médico-Légal) pour l'expertise fournie au bureau du ministre, et non pas un pathologiste indépendant comme il avait été entendu lors d'une rencontre au Bureau du Protecteur du citoyen. Ceci faisait suite à une médiation de Me Daniel Jacoby entre les parties (Me Pierre Audet et Me Benoît Lauzon pour le gouvernement), Me Pierre Gagnon, Jacques et Robert Dupont pour la famille Dupont. Le Dr. Lauzon a lui-même préparé le dossier qui a été transmis au Dr. Dowling. (Plaidoyer de Me Pierre Gagnon à la Cour Supérieure du Québec en 1995).

Le Dr. André Lauzon, pathologiste et directeur de l'Institut Médico-Légal a témoigné devant le juge Ivan St-Julien le 1er novembre 1995. Le Dr. est venu à la cour affirmer que la blessure du thorax était une blessure d'entrée d'arme à feu. Il a surtout témoigné sur la blessure au bas du dos, qu'il a qualifiée de 'shore exit wound', tel qu'ils le défendaient dans leurs rapports. Il a défendu les rapports du Dr. Hould. Il est venu à la cour pour empêcher la tenue d'une enquête publique.


 

 


Recherche sur le site  |   Courrier   |   Lexiques   |   Liens   |   Entrée   |   Facebook