Les articles ci-dessous sont tous écrits de la main même de l'historien autodidacte Éric Veillette, entre début 2011 et la mi 2013. Dans ces articles en particulier ( qu'il a prit soin de faire disparaitre de son site Web depuis mais que nous avons retrouvé grâce au service d'archivage de pages Web "Wayback Machine" ) , M. Veillette retrace les détails de plusieurs aspects de l'affaire Louis-Georges Dupont. Dont le meurtre lui-même. À contrario de ses articles qu'il publiera ensuite à partir de la 2e moitié de 2014 , il y explique pourquoi il croit fermement au meurtre en 1969 du policier-enquêteur trifluvien Louis-Georges Dupont.

Pour ce faire, il met d'abord en perspective les événements entourant la première commission de police du Québec à Trois-Rivières, tenue en 1969. Laquelle rappelons-le portait sur les agissements du corps de police de cette même ville à ce moment. Commission au cours de laquelle le policier-enquêteur Dupont fut le dernier témoin entendu. Et suite à laquelle, un mois et demi après la fin des auditions, ce dernier disparu 5 jours et fut retrouvé mort d'un projectile d'arme à feu dans sa voiture de service.

Poursuivant son investigation à propos de ces événements, et plus particulièrement sur ceux entourant le décès du policier-enquêteur Louis-Georges Dupont en 1969, M. Veillette reprend également dans ces articles ( avant qu'il ne les modifie en 2014 ) les événements entourant cette fois une 2e commission de police. Ordonnée par un juge de la Cour Supérieure du Québec en 1996, qui avisa du même coup de ne pas reprendre à cette occasion tous les témoignages et expertises , et, de retenir son opinion comme étant celle d'un meurtre . Ce qui ne fut pourtant pas fait puisque la commission nommée Céline Lacerte-Montagne s'est employée par la suite à refaire défiler tous les experts et reprendre effetivement l'audition des témoignages.

C'est ainsi que dans les articles ci-dessous, entre 2011 et 2013, M. Veillette relève un bon nombre de points importants par lesquels il s'emploie à mettre en lumière, à travers l'histoire, divers événements entourant la mort du policier-enquêteur et les efforts pour retracer la vérité dans ce dossier à travers les décennies; Mais voilà; Mi 2013, après que la famille Dupont ait maintes fois ouverte la porte de leur maison à l'auteur Éric Veillette, que les fils du policier-enquêteur décédé, Robert de Jacques Dupont lui fournirent toute l'information nécessaire à l'écriture du livre qu'il leur promettait (et dont ils s'était clairement entendus avec eux à propos de la conclusion de meurtre), après que l'épouse de Jacques Dupont lui ait préparé des repas, qu'il ait eu accès à des millers de pages de dossiers accumulés au fil des décennies, et surtout, après que l'auteur leur ait présenté et fait approuvé l'épreuve de son livre en tant que produit final... Éric Veillette, cessa tout à cout toute communication avec les Dupont.

S'abstenant catégoriquement de répondre aux multiples appels téléphoniques, messages et emails de la famille Dupont qui n'y comprenaient rien, celle-ci n'entendit parler à nouveau de l'auteur qu'avec la sortie de son livre à propos de leur père décédé en 1969. Mais les Dupont n'étaient pas encore au bout de leur surprise.

Sans l'avoir encore ouvert, déjà, quelque chose avait changé au regard de l'épreuve qu'ils avaient reçu auparavant de la main même de l'auteur. Sur la couverture de l'épreuve, trônait le titre : "L'affaire Dupont : Assassinat d'un incorruptible". Et voilà que le livre maintenant sorti au grand public, après que l'auteur ait cessé de communiquer avec la famille, se titre seulement maintenant : " L'Affaire Dupont. "

Au début , la lecture de leur histoire vécue, à travers les chapitres du livre publié, se révéla telle qu'ils l'avaient confiée à l'auteur. Le travail de recherche de l'homme présentait même une minutie très intéressante. Arpentant les événements caractérisant cette histoire à travers les décennies. En y relevant les multiples incohérences, incompétences et malfonctions de la police de l'époque. À plusieurs endroits, on a même l'occasion de lire l'auteur s'indigner d'autant de malhonnêteté de la part des policiers et enquêteurs de l'époque. Particulièrement ceux affectés à l'enquête qui sera menée dans le cadre de la mort du policier-enquêteur Dupont.

Mais arrivés à la conclusion, les fils de Louis-Georges Dupont furent plus que stupéfaits de constater que tout avait changé! Il ne s'agissait plus du tout de la conclusion du même livre auquel ils avaient fourni leur participation auprès Éric Veillette! De l'évidence du meurtre, des multiples paragraphes de l'épreuve qui les uns après les autres multipliaient les démonstrations de faits, témoignages, expertises, indices, pièces à convictions, conduisant tous les uns après les autres à une conclusion de meurtre sans équivoque, les frères Jacques et Robert Dupont se retrouvèrent cette fois devant une conclusion ayant effectué un virage à 360 degrés!

Exit le meurtre. Exit les observations et résonnements conduisant à l'évidence de l'omicide. Tant et tellement que les lecteurs de ce nouveau livre auront sans aucun doute une impression d'incongruence entre ses chapitres et sa conclusion! Ainsi, la famille qui aura si souffert de s'être autant battue depuis des décennies, aura fait confiance à un homme qui aura profité de leur expertise dans ce dossier pour s'enrichir.

Ainsi, les articles suivants démontrent qu'entre 2011 et 2013, Éric Veillette profitait de la moindre occasion pour affirmer sa ferme opinion à propos du meurtre de L-G Dupont. Passé cette date, tout ce qui est disponible de lire de sa part à ce propos s'employera à écrire tout le contraitre de ce qu'il a lui-même relaté noir sur blanc. Les frères Jacques et Robert Dupont on d'ailleurs toujours en leur possession cette épreuves qui leur fut remise en main propre par l'auteur.